Cela fait plus de 10 ans que sont apparus les suppositions de risques liés à la présence de sels d’aluminium dans les cosmétiques.

Certaines études (dont la plupart avait été remises en cause par leurs pairs) semblaient démontrer un risque sanitaire, lors de l’utilisation de déodorant contenant du chlorhydrate d’aluminium et autres sels d’aluminium.
Le chlorhydrate d’aluminium, un composé d’ailleurs absent de la pierre d’alun naturelle.

Néanmoins, comme un effet boule de neige, il a fallu peu de temps pour que certains fassent un rapprochement entre aluminium et alun. D’ailleurs ce rapprochement était somme toute logique, l’alun étant un double sulfate de potassium et d’aluminium.
Mais, le lien s’arrête la, car la pierre d’alun ne contient que des ses d’aluminium d’origine naturelle qui diffèrent fortement des sels d’aluminium d’origine chimique.


Un véritable emballement 


Mais trop tard la machine médiatique (journaux, « experts  » you tube, bloggeuses, bref tout le gotha scientifique ; ) ) était lancée et sonna la mise au banc de la pierre d’alun, sans regarder les éléments scientifiques.

Notre laboratoire, dernier façonnier de pierre d’alun et détenteur de nombreuses infos, et études sur la pierre d’alun, c’est mis à la disposition de ces mêmes médias, afin de pouvoir leur transmettre un maximum d’informations.
Mais malheureusement, nous ne pouvons que constater que les nouvelles anxiogènes semblent plus vendeuses.

Nous avancions pourtant les preuves d’un non passage transcutanée de la pierre d’alun, de sa très faible teneur en aluminium mais rien n’y fait.


Applications de notation

Quelques années plus tard, nous avons assisté à l’avènement des applications de notation, qui pour la grande majorité ce sont rangées derrière les avis médiatiques et quelques études scientifiques non fondées et ont donc classées la pierre d’alun du coté des mauvais élèves.

Encore une fois, malgré notre documentation rien n’y a fait et la notation de la pierre d’alun a été faussement biaisée, en raison d’un principe de précaution qui n’avait pas lieu d’être car fondé sur un vide scientifique.

D’autant plus que suite au premier avis rendu par l’ANSM la teneur en aluminium toléré à 0.6% était bien au dessus du seuil de dépôt lors de l’utilisation d’une pierre d’alun.

Depuis Novembre dernier, le CSSC, après plusieurs années d’étude a enfin tranché et a jugé que les sels d’aluminium présent dans les cosmétiques ne présentaient aucun danger pour leur utilisateurs.

A ce moment on se dit Bingo, la notation de la pierre d’alun va être modifiée. Eh bah raté, les applications après quelques recherches se cachent derrière l’avis du BFr (Institut fédéral allemand) qui investiguent encore sur la pénétration de certains sels d’aluminium.

Un avis renforcé

Alors c’est avec grand plaisir que nous vous annonçons que  le Bfr suite à l’évaluation d’une nouvelle étude sur l’homme, l’Institut allemand se range maintenant derrière l’avis des experts européens.

Nous attendons donc grandement la rectification de la notation de la pierre d’alun.

Les doutes sur l’utilisation de la pierre d’alun sont donc tous évaporées. Vous pouvez donc faire confiance à une solution naturelle de régulation de la transpiration.

Eh si en plus vous avez un besoin de produits locaux, faites confiance à nos pierres d’alun façonnées à la main en France.














 

 

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